Le lever du matin. Toujours vivant !

Fatigué le matin car levé tôt ?

Nous avons des tas de choses dans la tête car nous avons tous des contraintes. Des problèmes à gérer au boulot. Avec la nounou. Avec l’école.

Ma petite technique du matin !

Ce matin, comme tous les matins, je réalise une petite expérience.

Je respire.

J’essaye de sentir mon corps et oublier ce qui doit me mouvoir dans la journée comme un petit robot.

Je me dis de manière consciente :

Hey ! T’es vivant.

Ton corps vibre.

Ton corps respire.

Des millions de molécules s’activent à ce que je peux sentir : je bouge. Je respire. Je vois.

Et tu as une nouvelle première journée à respirer.

Et d’un seul coup je me projette sur la journée :

C’est encore une belle journée où je suis là dans le grand cosmos…

Et toutes les contrariétés sont en fait peu de chose au regard de mon parcours de vie.

Depuis que j’ai été expulsé bienveillamment du corps de ma mère.

Depuis que j’ai appris à lire, écrire.

Depuis que j’ai appris à voir et discuter avec les gens.

Travailler avec l’autre devient une nouvelle découverte.

Discuter avec l’autre devient une nouvelle découverte.

Loin des postures hiérarchiques, ou de mission.

Je refuse ces postures. Rester soi même.

J’expérimente cette technique depuis plusieurs semaines. Et quand je suis de mauvaise humeur, fatigué, cette technique me redonne de l’énergie.

Pourtant simple. So simple. La réussite est la répétition et jouer le jeu tous les matins !

L’autre devient la personne que je côtoie comme un animal humain. Comme moi.

Tant pis pour lui s’il ne me suit pas.

Après tout, nous vivons pour notre survie. En ayant capté le monde pour s’y intégrer.

Sans masque.

La journée s’annonce bien.

Je ne vais pas travailler et suivre des process, des postures obligées.

Je serai moi.

Avec mon temperamment.

Mes talents que je dois exponnentialiser.

Mes faiblesses que je partagerai pour peut être obtenir bienveillance.

Être soi même. Vivant.

Et je conjuguerai avec l’autre, car je sais que lui même le matin respire et qu’il a dans sa tête cette considération de survivre.

Chacun à sa façon !